Challenge AZ : Z
On clôture ce challenge généalogique par un lieu chargé de souvenirs : une maison de famille. Pas n’importe laquelle, celle de Marija Poropat, transmise ensuite à sa fille Hermina, puis à sa petite-fille Doroteja, et aujourd’hui encore utilisée comme maison de vacances par les fils de Doroteja : Cvetko, Maks, Jozi et Edi. Quatre générations se sont succédées entre ces murs, dans cette petite maison située à Celje, au 18 Zagrad. Un modeste foyer, mais un véritable témoin du temps qui passe.
Challenge AZ : Y
J’ai mis un temps fou à trouver un mot commençant par Y… Rien ne me venait ! J’ai bien tenté de rédiger un article sur un couple de ma propre généalogie et le hasard faisait bien les choses puisqu’ils s’appelaient Yves Guillou et Yvonne Couzigou. Mais je n’avais pas encore assez travaillé sur leur branche et, comme ils sont nés au XVIIIᵉ siècle, je passais un temps considérable à transcrire leurs actes.
Challenge AZ : X
Lors de ma formation en généalogie familiale à l’EAG, nous avons étudié la place des femmes dans les archives et les difficultés liées à leur repérage. Pour mettre en pratique ces enseignements, nous devions réaliser un exercice nous invitant à sortir des « archives traditionnelles » afin d’explorer d’autres sources.
Challenge AZ : W
Oui, c’était ça ou wagon…
Challenge AZ : V
Même si nous avons la chance, en France, de pouvoir consulter en ligne une quantité impressionnante de documents d’archives, certaines informations plus précises exigent encore de se déplacer. Et une visite aux archives reste toujours un plaisir. À Nice, nous sommes particulièrement gâtés : la même ligne de tram dessert les archives municipales et les archives départementales, ce qui rend l’accès assez facile. Mais avant de partir, mieux vaut savoir exactement ce qu’on cherche et ce qu’on espère trouver. Une fois sur place, il faut aussi comprendre comment les choses se passent : où commencer, à qui s’adresser, quelles règles respecter.
Challenge AZ : U
L’urbex, ou exploration urbaine, consiste à visiter des lieux abandonnés et souvent oubliés : usines désertées, maisons figées dans le temps, bâtiments publics laissés à l’abandon. Parlons peu, parlons bien, c’est une pratique illégale, puisque l’article 226-4 du Code pénal interdit l’ « introduction dans le domicile d'autrui à l'aide de manoeuvres, menaces, voies de fait ou contrainte, hors les cas où la loi le permet, est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d’amende ».
Challenge AZ : T
Vos ancêtres ont-ils déjà posé le pied à Nice pour profiter de sa lumière, de son climat doux ou de la mer ? Ont-ils fait partie des tout premiers visiteurs, ceux dont il ne reste peut-être qu’une carte postale jaunie ou une photo oubliée au fond d’un tiroir ?
Mais comment vivait-on Nice en tant que touriste au XVIIIᵉ siècle, et en quoi cela diffère-t-il de l’expérience d’aujourd’hui ? Et inutile d’imaginer les vendeurs de beignets, on en était très loin. Plongeons un instant dans cette histoire : être touriste à Nice, hier, aujourd’hui… et entre les deux.
Challenge AZ : S
Les sources sont indispensables à toute démarche sérieuse. Tout document, témoignage permet d’établir un fait : une naissance, un mariage, un lieu de vie, une profession… Sans source, pas de preuve et sans preuve, pas de généalogie fiable. C’est pourquoi il est essentiel d’apprendre à reconnaître et utiliser les sources afin de progresser dans les recherches.
Challenge AZ : R
Eh bien oui : rien. J’ai pourtant essayé. J’ai même commencé trois articles. Le premier portait sur les différents réseaux : familiaux, sociaux, professionnels… un sujet que j’aime beaucoup, mais il refusait d’avancer. Le deuxième traitait des recensements, une source que j’utilise pourtant quotidiennement et qui est incontournable : impossible d’en tirer quelque chose de satisfaisant. Quant au troisième, là j’ai vraiment touché le fond…
Challenge AZ : Q
Ce soir, au bar de la gare, Igor, hagard, est noir. Il n’arrête guère de boire car sa Katia, sa jolie Katia, vient de le quitter…Sa Katie l’a quitté. Et nous, en tant que généalogistes, nous tremblons. Va-t-il nous demander d’entamer des recherches? A-t-il compris que, bien que ça concerne sa famille, nous ne sommes pas des détectives privés? Mon pauvre Igor, tu l’as bien compris, je ne peux rien pour toi mais je t’invite à lire ce petit billet sur le mot « quitter » histoire de vraiment toucher le fond et peut-être trouver la force de remonter la pente.
Challenge AZ : P
Lorsqu’on fait appel à un généalogiste, c’est souvent par curiosité : comprendre l’origine d’un nom, vérifier un lien avec la noblesse, retrouver une provenance géographique…
Je débute encore dans ce métier, mais jusqu’ici, toutes les personnes qui m’ont confié des recherches avaient en commun cette même intuition : quelque chose, quelque part, avait été tu.
Challenge AZ : O
On peut passer des heures à feuilleter des recensements, à parcourir des tables décennales ou à scruter des articles de journaux sans parvenir à saisir la moindre trace d’une famille, d’un nom, d’un acte, d’un fait. Tout semble se dérober.
Et puis, soudain, en changeant d’angle, en regardant une ligne de plus près ou en laissant l’œil se poser autrement, quelque chose apparaît.
Challenge AZ : N
« Qu’y a-t-il en un nom? » Hé bien William, il y a pas mal de choses : des personnages, des disparus, des inconnus, des histoires, des non-dits, des trop-dits, des silences… Les noms restent ou s’effacent pour toujours, souvent à cause des femmes, suprématie du patronyme oblige.
Challenge AZ : M
Après une petite pause dans nos balades niçoises, on y retourne. C’est un lieu incontournable puisqu’il est situé au pied de la colline du Château, entre le port et la vieille ville, face à la mer, Quai Rauba Capeu (chapeau qui vole, c’est là que le vent souffle le plus), le Monument aux morts. Un lieu de mémoire, une porte d’entrée vers l’histoire d’une famille.
Challenge AZ : L
En explorant le site des Archives départementales de l’Hérault, je me suis laissée entraîner dans la presse ancienne, et plus particulièrement dans Les Affiches de Montpellier (1770-1775). Ce journal hebdomadaire publie à la fois des annonces de ventes, des offres ou demandes d’emploi, ainsi que diverses « nouvelles intéressantes ».
Challenge AZ : K
On continue notre balade dans Nice et on s’interroge sur Alphonse Karr. Pourquoi cet homme de lettres a donné son nom à cette rue? Qui était-il et quel est son lien avec la ville?
Challenge AZ : J
Tiens, on est le 11 novembre, c’est férié, si on allait au marché du cours Saleya . Aller, hop, direction Place Garibaldi pour prendre le tram, on s’arrête à Cathédrale-Vieille ville, on descend sur la place Centrale, c’est envahit de touristes sur la rue Mascoïnat, on va prendre à gauche, la rue de la loge, et descendre la rue Benoit Bunico. On lève les yeux, et si on s’arrêtait un peu ici.
Challenge AZ : I
J’ai eu la chance de vivre 6 ans sur une île, sans cocotiers, sans plages de sable blanc (quoique), une île où l’odeur du souffre efface celle du monoï, une île un peu binaire, été/hiver, jour/nuit, froid/un peu moins froid, plus grande que le Portugal mais 32 fois moins peuplée, sans pastel de nata mais avec du svid et de l’hákarl, une tête de mouton entière et du requin faisandé, une île de feu, de glace, de vent (beaucoup trop), d’aurores boréales, de cascades et de geysers : l’Islande.
Challenge AZ : H
La première épouse de mon arrière-arrière-grand-père, Louis François Véron, s’appelle Marie Anne Le Dain. Elle décède le 6 janvier 1895 à Épinay-sur-Orge. Née à Guénin, dans le Morbihan, elle est la fille de Pierre Marie Le Dain et de Françoise Le Trouher, cultivateurs.
Challenge AZ : G
Un peu de légèreté aujourd’hui, on aurait pu discuter de Génealogie ou bien du travail de Généalogiste, de Génétique, de Grosse et de Gabelle, mais faisons une pause autour d’une part de Gâteau, fait maison, avec amour.